L’énorme boulette de l’arbitre congolais Jean Jacques Ndala qui a officié le match Al Ahly-Raja sifflant un pénalty imaginaire pour le club cairote à la 10 ème minute du match a fait réagir la presse internationale et la toile qui sont consternées par cette nouvelle bourde de l’arbitrage africain.
Mais ce qui intrigue davantage dans le comportement du referee congolais et va forcément créer une large polémique, c’est que l’homme en noir avait une VAR qui l’a invité à visionner la soi-disant faute du joueur rajaoui. A quoi sert donc cette technologie? En Afrique à rien apparement!
Quand on visionne l’action sur la VAR, la balle a touché clairement le tibia de Mohamed Makahasi et que la VAR a confirmé son existence! le Raja crie au scandale mais Nadala ne voulait rien savoir.
“L’Équipe” parle d‘une «forte polémique» et estime que les locaux «ont bien été aidés par l’arbitre» après une «main inexistante».
“So Foot” a choisi un titre qui résume une situation scandaleuse:”Le pénalty lunaire accordée à Al Ahly après une faute du tibia.”Le pire étant que l’arbitre, ayant sifflé une première fois en pensant sans doute que le ballon effleurait la main du joueur marocain, a validé sa décision en consultant la VAR”, ajoute le média français.
De son côté le très populaire média généraliste “Ouest France” évoque une «grossière erreur d’arbitrage validée par la VAR.» Et d’ajouter:”une grossière erreur d’arbitrage a entaché la rencontre en faveur du club égyptien.”
Quant au média tunisien Mosaique FM, il s’en prend à l’arbitre de la VAR:”L’arbitre de la VAR, qui était derrière cette décision controversée, n’est autre que l’Algérien, Mehdi Abid Charef, triste héros de la fameuse finale aller de la Ligue des champions 2018 entre Al Ahly et l’Espérance sportive de Tunis.”